Maillot stade rennais floqué


Durant trois saisons, il dispute uniquement des rencontres amicales face à des équipes françaises et étrangères. Le second se révèle être un excellent buteur, qui permet de retrouver la D1 en 1956. Entre-temps, le Stade rennais dispute en juin 1955 un nouveau barrage, cette fois perdu contre Lille (0-1 puis 1-6), et change d’entraîneur, puisque Henri Guérin remplace Artigas à la suite de cet échec. Comme ses prédécesseurs, Guérin tient le rôle d’entraîneur-joueur. En 1961, Antoine Cuissard remplace Henri Guérin à la tête de l’équipe professionnelle, dans un rôle strictement limité à celui d’entraîneur. Trois techniciens, Jean Batmale, Antoine Cuissard et Christian Gourcuff, exercent sur deux périodes non consécutives au Stade rennais durant leur carrière : le premier connaît une interruption d’un an, durant la Seconde Guerre mondiale, pendant laquelle il dirige les amateurs de la Tour d’Auvergne ; le second exerce au début des années 1960, puis est rappelé par le club en 1975, près de onze ans après son premier mandat comme entraîneur ; le troisième dirige l’effectif rennais lors de la saison 2001-2002 avant d’être remercié, puis fait son retour au club quatorze années plus tard. ↑ Rémi Chevrot, « Patrick Rampillon : « Trois critères pour recruter » », Onze Mondial no 273, octobre 2011, p.

De retour, Batmale exerce durant les trois dernières années de guerre. Il s’agit d’abord de joueurs de leur effectif, puis de plusieurs adjoints dédiés à partir de la fin des années 1980, parfois spécialisés dans l’entraînement des gardiens de but ou dans la préparation athlétique des joueurs. La rénovation du stade de la route de Lorient et les ambitions grandissantes du club à la fin des années 1990 et au début des années 2000 contribuent à accroître encore ce chiffre. À partir de la fin des années 1980, les clubs professionnels français commencent à se doter d’assistants qui viennent seconder l’entraîneur principal dans sa gestion de l’effectif et des entraînements. Durant les trente premières années de l’histoire du club, au début du XXe siècle, la présence d’un entraîneur n’est pas régulière. Les années 1960 sont marquées par le passage de l’un d’entre eux, Jean Prouff, qui dirige le Stade rennais lors de ses deux victoires en Coupe de France en 1965 et 1971. Développant un jeu offensif et spectaculaire, il est ensuite désigné « entraîneur du siècle » lors du centenaire du Stade rennais, en 2001. Depuis lors, aucun technicien ne dépasse les quatre années de présence consécutives à la tête de l’équipe rennaise, ceux-ci se succédant au gré des résultats et des orientations sportives du club.

Quatre ans après Guy Lacombe, il emmène son équipe au stade de France, cette fois en finale de la Coupe de la Ligue 2013, match qui se termine sur un nouvel échec. Sportivement, ce changement est un échec : sur les dix matchs restants en championnat, l’équipe obtient quatre matchs nuls et concède six défaites. Outre ces deux techniciens, François Pleyer, durant sept ans, et Henri Guérin, durant six ans, sont les entraîneurs qui restent le plus longtemps en poste au Stade rennais. Contraint de se trouver un nouvel entraîneur en juin 2003, le Stade rennais porte son choix sur le Roumain László Bölöni, ancien entraîneur de l’AS Nancy-Lorraine, qui sort de deux ans passés au Sporting Portugal. Un an plus tard, le maintien du technicien morbihannais à son poste porte ses fruits, avec une nouvelle victoire en Coupe de France. Après une première année difficile, à l’issue de laquelle l’équipe première est reléguée en deuxième division, son action est récompensée en 1938-1939 par une remontée en Division 1. Le début de la Seconde Guerre mondiale vient interrompre les compétitions nationales, mais pas celles disputées à l’échelon régional, et Batmale continue d’exercer pendant deux ans.

Sous sa direction, les résultats de l’équipe professionnelle continuent de se dégrader, stade rennais boutique et le club redescend en D2. Alors que le football se développe progressivement en France au début du XXe siècle, c’est le capitaine de l’équipe qui jouit pleinement d’un rôle de meneur. Ces Coupes de France ont aussi participé au réveil de l’identité bretonne. Ces changements n’ont pas les effets escomptés, et le Stade rennais occupe rapidement la dernière place du classement. Le 27 février 1975, alors que le club occupe la dixième place du classement, la direction du Stade rennais annonce qu’il est démis de ses fonctions d’entraîneur et lui propose un poste de directeur technique et de chargé du recrutement, qu’il choisit de décliner. Pour permettre aux spectateurs qui assistent à la majorité de ses rencontres d’obtenir des tarifs préférentiels, un système d’abonnement à l’année est mis en place par le Stade rennais. La rivalité sportive qui oppose le Stade rennais à l’US servannaise durant ses premières années, ou la réception de quelques-uns des grands clubs parisiens, fédère autour de lui de nombreux spectateurs. Importée de Grande-Bretagne, cette pratique demeure un luxe pour les clubs français, et le capitaine joue alors un rôle prépondérant par rapport à ses coéquipiers.

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