Maillot stade rennais noir


28 mer. 13 janvier 19 h 00 Coupe de la Ligue 1/8 de finale Lille E 1 – 3 a.p. Les choses commencent bien puisque Kaba Diawara, prêté en janvier par Bordeaux au Stade rennais pour renforcer l’attaque, ouvre le score. Les choses démarrent bien avec l’ouverture du score de Hervé Guermeur, mais Metz égalise rapidement puis prend l’avantage. Pour son retour en Division 1, le Stade rennais UC doit faire face à une saison bien difficile. À l’issue de cette saison 1955-1956, le Stade rennais obtient son billet pour son retour en Division 1, trois ans après l’avoir quittée. La saison 1955-1956 du Stade rennais Université Club débute le 21 août 1955 avec la première journée du Championnat de France de Division 2, pour se terminer le 27 mai 1956 avec la dernière journée de cette compétition. La saison 1956-1957 du Stade rennais Université Club débute le 19 août 1956 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 17 juin 1957 avec une relégation en Division 2 concédée après une défaite en match d’appui de barrage. Le 19 avril, ils entrent finalement dans la zone de relégation, pointant en avant-dernière place après une défaite à Saint-Étienne.

Lorient font place à une tribune flambant neuve. La fin de saison est une lutte continuelle entre le Stade rennais et l’AS Cannes, qui détient la place de barragiste. C’est ainsi que le 2 décembre, les Rennais mettent fin à l’invincibilité de l’AS Saint-Étienne, qui courait depuis le début du championnat. Le début de saison est correct et, même si le SRFC semble partir pour se battre toute la saison pour son maintien, les quelques victoires obtenues devant le RC Paris, Toulon et Sochaux (trois concurrents directs dans la course contre la relégation) peuvent laisser augurer une issue favorable. Côté départs, outre Artigas, le Stade rennais voit partir à la retraite son attaquant suédois Bengtsson, quand Henri Baillot va user ses derniers crampons dans sa région natale, à Bar-le-Duc. Outre Guérin, l’autre recrue majeure de l’intersaison se nomme Antoine Cuissard. Peu à peu, l’équipe menée par Antoine Cuissard parvient à s’extraire de son marasme, en obtenant notamment une série de cinq matchs sans défaite en février – mars. Au prix de quelques belles victoires, dont une acquise au Stade Malakoff, antre du futur champion de France nantais (3 – 2), le Stade rennais UC remonte peu à peu au classement, mais voit son bilan de mi-saison terni par un mois de décembre désastreux (trois matchs, trois défaites) qui le fait rechuter dans le ventre mou.

Dans un championnat au niveau plus resserré qu’en 1954-1955, cela suffira à propulser Henri Guérin et ses joueurs parmi les prétendants à une promotion directe. ↑ Denis Chaumier, Les Bleus : tous les joueurs de l’équipe de France de 1904 à nos jours, Paris, Éditions Larousse, 2004, 335 p. 15 mai : Le Stade rennais vient s’imposer à Monaco (4 – 1) ce qui a pour conséquence de voir l’Olympique lyonnais sacré champion de France aux dépens du club monégasque. Tirage au sort le 31 août 2018 à Monaco. La saison 1964-1965 du Stade rennais Université Club débute le 30 août 1964 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 30 mai 1965 avec la dernière journée de cette compétition. Obtenant trois victoires lors des trois dernières journée de la saison, ils finissent par conserver leur première place et du même coup leur précieux sésame pour l’étage supérieur. Pendant la phase aller, les « Rouge et Noir » concèdent cinq de leurs sept défaites de la saison, ce qui a pour effet de les tenir de temps en temps éloignés du podium. L’expérience tourne court : lors du deuxième match de la saison, le 10 septembre 1933, les débuts de Kelly se révèlent catastrophiques et le joueur est prié de quitter le club.

Pour le remplacer, le Stade rennais université-club (SRUC) engage l’ancien international écossais Philip McCloy, qui prend le rôle d’entraîneur-joueur et emmène avec lui son compatriote Jeremiah Kelly. L’association se réclame d’une mentalité d’amitié et d’ouverture, de respect de son équipe ainsi que des adversaires. Quatre ans après Guy Lacombe, il emmène son équipe au stade de France, cette fois en finale de la Coupe de la Ligue 2013, match qui se termine sur un nouvel échec. De loin la plus mauvaise équipe du championnat dans cet exercice, le Stade rennais compensera avec une défense bien plus performante. Invaincus lors des trois rencontres suivantes, les Rennais semblent se reprendre, mais une dernière défaite à Reims les condamne à jouer les barrages. Après avoir sorti le Stade briochin et le CO Vincennes, ils chutent en Coupe de France à l’issue de trois matchs acharnés face au FC Grenoble. Une performance qui permet aux Rennais de s’emparer mi-février de la tête du classement, sans parvenir à distancer ses trois principaux poursuivants : Valenciennes FC, Béziers et Angers. De quoi permettre aux Rennais de revenir à hauteur de leurs concurrents directs pour le maintien : Strasbourg, Nancy, Valenciennes FC et Metz.

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