Maillot stade rennais bleu
Comme en 1971, le match aller au Vélodrome voit Marseille s’imposer un but à zéro. Marseille (2 – 1) en septembre. 17 26 septembre Coupe de la Ligue Troisième tour Clermont E 1-0 a.p. Barrage D1-D2 retour FC Rouen 0 – 1 a.p. 41 1er avril Coupe de France 1/4 finale retour Auxerre D 2-1 a.p. La saison 1985-1986 du Stade rennais football club débute le 16 juillet 1985 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, maillot stade rennais pour se terminer le 25 avril 1986 avec la dernière journée de cette même compétition. ↑ a b c et d À l’été 1982, Jean-Luc Lagardère prend le contrôle du Paris FC qu’il renomme « Racing Paris 1 » avec l’accord du Racing Club de France. La saison 1991-1992 du Stade rennais football club débute le 20 juillet 1991 avec la première journée de Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 12 mai 1992 avec une défaite en barrages synonyme de relégation en deuxième division. La saison 1988-1989 du Stade rennais football club débute le 16 juillet 1988 avec la première journée du Championnat de France de Division 2, pour se terminer le 20 mai 1989 avec une défaite en pré-barrage synonyme de maintien en deuxième division.
Le maintien obtenu de justesse en mai 1998 s’avère décisif pour le devenir du Stade rennais. En Coupe de France, le Stade rennais réalise son meilleur parcours depuis sa victoire en 1971. Après avoir logiquement sorti Lucé, il doit se frotter à un autre promu en D1, le Havre AC. En 1973, la formation rennaise retrouve le devant de la scène avec un parcours victorieux en Coupe Gambardella. L’année rennaise est marquée par l’émergence d’un jeune joueur nommé Jocelyn Angloma. Ce dernier est cependant prêté par l’AJ Auxerre, champion de France en titre, et vient compenser le départ de Grassi. Leur arrivée est complétée par celle de Thierry Ninot en provenance de Monaco, qui prend place dans une défense totalement remaniée où débarque également le Guingampais Gilbert Le Goff. Ce changement dans l’organigramme est loin d’être sans conséquences. Un changement qui ne porte pas ses fruits, puisque le Stade rennais est relégué en Division 2 en fin de saison, après un barrage perdu face au RC Strasbourg (0-4 puis 1-3). Artigas donne une touche hispanique à l’effectif rennais en recrutant ses compatriotes Patricio Eguidazu et José Caeiro. Le changement d’entraîneur s’accompagne d’une révolution dans l’effectif puisque celui-ci est en grande partie renouvelé.
Le second se révèle être un excellent buteur, qui permet de retrouver la D1 en 1956. Entre-temps, le Stade rennais dispute en juin 1955 un nouveau barrage, cette fois perdu contre Lille (0-1 puis 1-6), et change d’entraîneur, puisque Henri Guérin remplace Artigas à la suite de cet échec. Le FC Rouen, que le Stade rennais connaît déjà bien puisque le club normand fut son bourreau quelques mois plus tôt en Coupe de France (0 – 0 puis 0 – 2). Le match aller semble confirmer les craintes d’un échec (0 – 1), d’autant que le retour se joue dans l’antre des « Diables rouges » à Robert-Diochon. Du coup, le club se montre assez actif sur le marché des transferts, et le recrutement semble à première vue judicieux. Une ossature déjà dégagée, le recrutement est limité mais de qualité. Le début de saison du Stade rennais est loin de combler les attentes générées par les investissements financiers. Les résultats du début de saison laissent d’abord craindre une nouvelle période de disette sportive, deux défaites face à Orléans et Mulhouse faisant descendre le SRFC en milieu de tableau. Fort heureusement, les points accumulés en début de saison permettent au SRFC de disposer d’une marge confortable sur le RC Strasbourg et le SEC Bastia, qui semblent promis à la relégation, et une série de résultats plus positifs permettront aux Rennais de remonter à une honorable treizième place finale.
Après cette simple saison dans l’élite, le Stade rennais doit donc repartir en D2. ↑ Le Stade rennais élimine d’abord l’AS Saint-Étienne au stade Geoffroy-Guichard, puis sort le FC Mulhouse en matchs aller-retour. Lors de l’avant-dernière journée, les Rennais obtiennent un résultat décisif en arrachant une précieuse victoire à Saint-Étienne (1 – 0) grâce à un but de Thierry Turban dans le dernier quart d’heure. Alain Doaré, vingtième tireur de la séance, réussit enfin à tromper Bensoussan, donnant victoire et montée en D1 au Stade rennais FC. De retour au pain quotidien de la D2, le Stade rennais connaît un nouveau bouleversement après son échec de la saison précédente. Pour sa deuxième saison consécutive en D1, le Stade rennais connaît quelques changements d’ordre structurel. En effet, ces derniers opposent depuis la saison précédente les deuxièmes et troisièmes de chaque groupe sur une unique rencontre, avant que les deux vainqueurs ne s’affrontent en match aller-retour. Il débute avec l’équipe C puis intègre la réserve, avant de faire ses débuts en Coupe de France avec l’équipe première. Après une première année difficile, à l’issue de laquelle l’équipe première est reléguée en deuxième division, son action est récompensée en 1938-1939 par une remontée en Division 1. Le début de la Seconde Guerre mondiale vient interrompre les compétitions nationales, mais pas celles disputées à l’échelon régional, et Batmale continue d’exercer pendant deux ans.
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