Maillot stade rennais exterieur
La période des transferts voit le départ de plusieurs titulaires, au premier rang desquels Marco Grassi, Jean-Pierre Cyprien, Pascal Fugier, Jean-Christophe Thomas et Stéphane Ziani. Ainsi, il ne descendra pas en dessous de la douzième place et s’offrira un joli cinquième rang final. À la fin des années 1970, et d’autant plus après la création de l’ETP Odorico en 1987, la mise en place d’un internat permet d’élargir le recrutement à des jeunes joueurs n’ayant pas leur résidence à Rennes. ↑ a b c et d Il s’agit de l’ancienne version de la Coupe de la Ligue, qui n’est pas reconnue officiellement. En Coupe de France, le bilan est en revanche nettement moins bon. Le bilan par saison du Stade rennais FC présente ses résultats en championnat et dans les différentes coupes depuis sa création le 10 mars 1901. Entre cette date et janvier 1903, le Stade rennais ne dispute que des matchs amicaux, en l’absence de compétition organisée en Bretagne. Tranquilles vainqueurs du Stade brestois, ils sortent ensuite le FC Sochaux de la compétition.
↑ a et b Le Stade rennais se maintient finalement en D1 en raison des relégations administratives de Bordeaux, Brest et Nice pour déficits budgétaires trop importants. En pré-barrages, l’OGC Nice se déplace route de Lorient, et c’est un but dans les arrêts de jeu du match marqué par Majid Musisi qui permet aux Rennais de se qualifier in extremis pour le tour suivant. Les Rennais démarrent leur saison en trombe, passant successivement six buts à Saint-Étienne, Nice puis Toulouse lors des trois premières journées. Trois matchs où l’attaque rennaise, menée par l’éternel Jean Grumellon mais aussi l’étonnant Jean Combot (défenseur à l’origine, il fut replacé avant-centre avec bonheur), fait merveille. Pour le remplacer, il est fait appel à Salvador Artigas, de retour d’Espagne trois ans après son départ. Suivant les évolutions économiques et sociales de la région rennaise et de la Bretagne, le public qui se masse dans les tribunes du stade de la route de Lorient (renommé Roazhon Park en 2015) voit sa composition se modifier au fil des décennies, avec la disparition progressive du tissu industriel rennais au profit du secteur tertiaire, transformant le soutien populaire en un public plus familial, souvent critiqué pour sa froideur et son exigence envers sa propre équipe.
Ville de Rennes vote la rénovation du stade de la route de Lorient, matérialisée par la construction de deux nouvelles tribunes permettant de passer de 7 342 à 20 000 places assises, pour un investissement total de 62 millions de francs. Le 18 février, à l’issue d’une nouvelle – lourde – défaite contre Le Havre route de Lorient, le Stade rennais bascule dans la deuxième moitié de tableau. Quatorzième au classement, le Stade rennais sauve sa place en D1 à l’issue d’une saison brillante dans sa première partie, avant de devenir cauchemardesque. Le Stade rennais UC, qui a acquis la montée à l’issue de la saison 1938-1939 repart logiquement en Division 1. François Pleyer, après avoir laissé de côté le football pour servir dans l’armée, revient au club, et prend le poste d’entraîneur-joueur. Enfin, à l’usage des équipes de jeunes du club, le centre compte un petit bâtiment séparé, abritant d’autres vestiaires.
Après quatre années à la tête du club, François Pinault insuffle à partir de l’été 2002 une nouvelle politique qui laisse une place grandissante à la formation. Début 2014, ce dernier est écarté au profit de Menu, qui devient directeur du centre de formation. Depuis la création du Stade rennais en 1901, de nombreux techniciens interviennent en faveur de la formation des jeunes joueurs. Dans cette élite réduite à 18 clubs, le Stade rennais obtient de bons résultats, mené par des joueurs tels que Henri Guérin, arrivé de la TA Rennes pendant l’été, ou le futur international Jean Prouff. Sans Combot, que le jeune Maiseau remplace en attaque, les Rennais s’accrochent pendant l’hiver à leur place dans la première partie du classement. À la suite du dernier titre acquis en 2001 cependant, on observe un déclin marqué du FC Nantes se concluant par un séjour prolongé en Ligue 2 au tournant des années 2010. Parallèlement, le Stade rennais FC s’ancre dans la première partie du tableau et joue les premiers rôles en Ligue 1, sans se mêler à la lutte pour le titre. 14 février 2010 J20 US Orléans Dom. 15 février 2009 J20 UJA Alfortville Dom. 10 août 2008 J01 Red Star Dom.