Stade rennais maillot bleu
Cette fois, c’est le futur champion de France niçois qui sort les « Rouge et Noir » dès les seizièmes de finale. Une nouvelle fois, Jean Prouff quitte le club. La saison 1952-1953 du Stade rennais Université Club débute le 24 août 1952 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 7 juin 1953 avec une relégation en Division 2 concédée après deux défaites en matchs de barrage. Dans le sens inverse, le Stade rennais parvient à faire revenir l’un de ses joueurs emblématiques, Jean Prouff, après deux ans d’exil. C’est alors que le Stade rennais fait de nouveau appel à lui pour devenir entraîneur-joueur, avec sous ses ordres des éléments de valeur tels que Jean Prouff, Salvador Artigas et Henri Guérin. Pour le remplacer, il est fait appel à Salvador Artigas, de retour d’Espagne trois ans après son départ. Comme si cela ne suffisait pas, le mois de septembre voit le départ de la présidence de Marcel Delisle, vite remplacé par M. Florio. Après le départ de Lollichon, l’expérimenté André Amitrano arrive en remplacement.
La saison 1950-1951 du Stade rennais Université Club débute le 27 août 1950 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 27 mai 1951 avec la dernière journée de cette compétition. 46 13 mai Division 2 41 Red Star E 2-2 ? 48 21 mai Division 2 43 Reims D 1-2 ? 47 18 mai Division 2 42 Dunkerque D 6-2 ? 42 27 avril Division 2 37 Reims E 1-0 ? 38 10 avril Division 2 33 Boulogne-sur-Mer D 5-3 ? La double confrontation perdue face au SCO Angers pour l’attribution du titre de champion de France de deuxième division restera elle anecdotique. La saison 1945-1946 du Stade rennais Université Club débute le 26 août 1945 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 2 juin 1946 avec la dernière journée de cette compétition. Après six années de troubles liés à la Seconde Guerre mondiale, le championnat de France de football reprend ses droits.
Le tableau suivant récapitule les meilleurs buteurs du club lors de chaque saison, toutes compétitions confondues depuis 1932, période correspondant à la Seconde Guerre mondiale exceptée. Pour former sa nouvelle équipe, Le Milinaire s’appuie sur les valeurs montantes du club que sont Laurent Huard, Jocelyn Gourvennec, mais aussi Sylvain Wiltord, Ulrich Le Pen et l’attaquant Pierre-Yves André, stade rennais boutique débauché de Lannion durant l’été. 11 juillet : Transfert phare de l’été côté rennais. Contraint de se trouver un nouvel entraîneur en juin 2003, le Stade rennais porte son choix sur le Roumain László Bölöni, ancien entraîneur de l’AS Nancy-Lorraine, qui sort de deux ans passés au Sporting Portugal. François Pleyer, entraîneur de l’équipe première depuis 1945, est remercié. Pour affronter la saison qui s’annonce, l’équipe première se renforce. 9 août : match complètement fou pour la première journée de Ligue 1. Le Stade rennais et l’Olympique de Marseille font match nul 4-4. Trois buts sont marqués dans les arrêts de jeu, les Rennais égalisant par deux fois. 26 mai : Le Stade rennais fait match nul sur le terrain de Lille pour son dernier match de la saison. ↑ Nicolas Carnec, « Raymond Keruzoré, monsieur 100 % foot », Dimanche Ouest-France, Ille-et-Vilaine « Cahier Sports », no 593, 3 mai 2009, p.
Source : « Angloma, la longévité », 100 ans en Rouge et Noir, Hors-série Ouest-France, 2001, p. Les « Rouge et Noir » sont sortis dès les seizièmes de finale par le modeste club de l’US Le Vésinet. Pour le reste, le club reste fidèle à sa politique régionaliste en faisant venir quelques jeunes talents bretons, comme Jacques Poulain ou Marcel Abautret. Ne reste à réaliser que le plus difficile : s’y maintenir. Le genou droit totalement déboîté, Combot ne retrouvera plus jamais son niveau de début de saison. Le début de saison rennais est loin d’être mauvais, même si des premiers signes inquiétants apparaissent en novembre. Dans cette élite réduite à 18 clubs, le Stade rennais obtient de bons résultats, mené par des joueurs tels que Henri Guérin, arrivé de la TA Rennes pendant l’été, ou le futur international Jean Prouff. Invaincu pendant toute la phase aller, le Stade rennais creuse l’écart au classement. Sans Combot, que le jeune Maiseau remplace en attaque, les Rennais s’accrochent pendant l’hiver à leur place dans la première partie du classement. ↑ Classement du championnat 1964-1965 au terme de la 33e journée. ↑ a b et c Robert Vergne, « Lenoir et les Bretons souffriront à Mantes-la-Ville !