Stade rennais maillot
Quelques points laissés en cours de route ne lui permettent pas de se hisser à la hauteur des Girondins de Bordeaux et de l’Olympique de Marseille, qui se disputeront le titre jusqu’à la fin de la saison. Guy David n’ayant pas donné satisfaction, le technicien est remplacé par Paul Le Guen qui commence sa carrière d’entraîneur. Tout juste retiré des terrains, puisqu’il arrête sa carrière de joueur en 1960 après une ultime saison au FC Lorient, cet ancien international connaît le Stade rennais pour y avoir évolué pendant quatre ans avec Guérin comme entraîneur. La plupart des départs enregistrés sont ceux de joueurs n’ayant pas confirmé les espoirs placés en eux, exceptés Loïc Lambert et Goran Pandurović, le second stoppant sa carrière et le premier s’apprêtant à le faire. Heurtebis ne sera pas le seul dans cette situation, puisque de nombreux jeunes joueurs viennent renouveler l’effectif. Enfin, le club fait signer plusieurs jeunes talents, issus de son centre de formation, comme Yoann Bigné et Saliou Lassissi, ou recrutés à l’extérieur, comme Nicolas Goussé et Fabien Debec. François Yvinec. Douze ans après son départ, en tant que joueur, du Stade rennais, Keruzoré y fait donc son deuxième retour.
↑ a b c d et e Claude Loire, Le Stade rennais, fleuron du football breton, volume II : 1991-1997, Éditions Apogée, 1997, p. ↑ Moustapha Kamara, Hervé Causse, Les opérations de transfert de footballeurs professionnels, Éditions L’Harmattan, 2007, p. Aucune des clinquantes recrues sudaméricaines ne donne réellement satisfaction, et la « future star » Severino Lucas se révèle être un bon joueur, mais bien loin du niveau sportif que le coût de son indemnité de transfert supposait. Le Stade rennais s’escrime principalement à réduire la taille de son effectif, et les départs conjugués de Michel Sorin, Jean-Luc Ribar et Pascal Rousseau sonnent comme la fin d’une époque. 7 juillet : En conclusion de son traditionnel stage à Carnac, le Stade rennais dispute son premier match amical. Huitième du Championnat de France 1996, le Stade rennais retrouve les joutes européennes par le biais de la Coupe Intertoto. La saison débute extrêmement tôt, le club étant engagé en Coupe Intertoto à la suite de sa huitième place obtenue la saison précédente.
Le club s’est qualifié pour le deuxième tour préliminaire pour la Coupe de l’UEFA à la suite de sa victoire lors du 3e tour en Coupe Intertoto. En seconde mi-temps, les Guingampais réussissent néanmoins à égaliser, puis à s’adjuger la victoire (1 – 2) pour revenir à égalité de points avec le Stade rennais au classement. Dans les années 1960 et au début des années 1970, le Stade rennais connaît une période de succès sportifs qui génère un grand engouement autour de lui, à Rennes et en Bretagne. S’ensuit une période de crise qui dure jusqu’au milieu des années 1990. Exsangue financièrement, le club accuse un déficit considérable qui le précipite au bord de la disparition pure et simple en 1978. Il remonte peu à peu la pente jusqu’en 1998, date de la prise de contrôle de François Pinault et de sa holding Artémis, qui permet au Stade rennais FC de se stabiliser en première division, de moderniser ses infrastructures et de revoir à la hausse ses ambitions. Cette période de suprématie se traduit au niveau du palmarès avec 8 titres de champion glanés par Nantes entre 1965 et 2001 contre aucun côté rennais. 2001, année du centenaire du club, débute par une élimination en Coupe de la ligue face au voisin nantais, futur champion de France (2 – 4 a.p.).
Après une première saison réussie parmi l’élite, le Stade rennais de Michel Le Milinaire doit confirmer en 1995-1996. Pendant l’été, le club doit pourtant se résoudre à laisser partir Jocelyn Gourvennec, recruté par le voisin nantais tout juste sacré champion de France. La rivalité naissante entre le Stade rennais UC et l’US servannaise se confirme dès la saison suivante, les Servannais remportant leur premier titre de champion de Bretagne devant le SRUC, deuxième. 6 janvier : Nouvelle humiliation, avec l’élimination du club dès son entrée en Coupe de France. 10 novembre : Élimination du club en Coupe de la Ligue, dès son entrée dans la compétition. En finale, le 20 juin 1971, le Stade rennais domine largement l’Olympique lyonnais dans le jeu, mais tarde à concrétiser son avantage par un but. ↑ Benjamin Keltz, « Stade Rennais. 1/16 de finale Stade rennais FC 2 – 4 a.p. L’été 1998 est pour le Stade rennais celui de tous les changements. Marqué par cette sombre affaire, le marché des transferts rennais l’est aussi par un large remaniement de l’effectif professionnel. La réorganisation touche également l’effectif professionnel, qui est renouvelé de moitié. Début 2014, ce dernier est écarté au profit de Menu, qui devient directeur du centre de formation.
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